Cuisinier
à découvrir... vite... c'est succulent !
Par danieldorn | Le 03/09/2020 | Dans A Lire
Des tranches de vie souvent bien épicées, caustiques, fortes de café, parfois cruelles ou désabusées, mettant en lumière des comportements incongrus...
Toutes, pourtant, inspirées de la réalité.
Une manière de dévoiler le dessous des « cartes » : les habitudes, frustrations, vanités, passions, illusions, cheveux dans la soupe, faux-semblants et casseroles d'un monde véritablement à part...
Une brochette de vingt-six situations déclinées au gré de l'alphabet et qui gravitent toutes, de près ou de loin, autour de la planète « gastronomie » en frappant plus fort qu'avec le dos de la cuillère.
Une revue en règle de ces « gastrolâtres » : bourges, abrutis fêlés, chefs de cuisine, obscurs commis ou patrons de bistrots, homos ou hétéros, snobs, djeuns, vioques décatis, pères, mères célibataires ou filles indignes...
Tous enferrés dans leurs engouements les plus divers, piégés par l'exacerbation des sens, l'érotisme, mais aussi l'amertume des jours ordinaires, le grignotement insipide et insidieux du temps...
La palette complète des sauces de « la tambouille ordinaire ». Ces nouvelles sont animées par des acteurs toujours différents, en proie à des névroses, parfois frappadingues mais toujours fragiles... Ils croquent la vie, servent la soupe, se laissent porter par la routine, s'enthousiasment ou s'ennuient sans comprendre pourquoi...
En somme, un regard plein de gouaille sur les tribulations humaines au sein d'un microcosme trop souvent idéalisé.
La France gastronome
Par danieldorn | Le 28/02/2019 | Dans A Lire
"Parbleu ! Il n’y a que les imbéciles qui ne soient pas gourmands.
On est gourmand comme on est artiste, comme on est instruit, comme on est poète.
Le goût c’est un organe délicat, perfectible et respectable comme l’oeil et l’oreille. Manquer de goût c’est être privé d’une faculté exquise, de la faculté de discerner la qualité des aliments, comme on peut être privé de celle de discerner les qualités d’un livre ou d’une œuvre d’art.
C’est être privé d’un sens essentiel, d’une partie de la supériorité humaine; c’est appartenir à une des innombrables classes d’infirmes, de disgraciés et de sots dont se compose notre race.
C’est avoir la bouche bête, en un mot, comme on a l’esprit bête". Extrait du Rosier de Madame Husson (1888), œuvre de Guy de Maupassantcitée par l’historien Antoine de Baecque dans son ouvrage La France Gastronome - Comment le restaurant est entré dans notre histoire, publié le 23 janvier dernier (éditions Payot).
Chefs étoilés et recrutement...
Par danieldorn | Le 24/01/2019 | Dans Restauration
Changez complètement votre modèle !
Réflechissez à la manière de produire, efficacement, en qualité, avec les "nouvelles générations"...
Améliorez les conditions de travail, et...
Supprimez ces satanées COUPURES...
La coupure des cuisiniers par http://une-vie-en-cuisine.fr/la-coupure
C’est inévitable… il est 15 heures vous déposez votre veste dans ce minuscule casier.
Vous vous voyez déjà profiter de la fin de journée.
Votre quota d’heure réglementaire est bouclé.
Oui, mais voilà.
Le ” à ce soir” de vos collègues vous ramène à la réalité.
Vous bossez en restauration et vous êtes de coupure !