Alimentation
à découvrir... vite... c'est succulent !
Par danieldorn | Le 03/09/2020 | Dans A Lire
Des tranches de vie souvent bien épicées, caustiques, fortes de café, parfois cruelles ou désabusées, mettant en lumière des comportements incongrus...
Toutes, pourtant, inspirées de la réalité.
Une manière de dévoiler le dessous des « cartes » : les habitudes, frustrations, vanités, passions, illusions, cheveux dans la soupe, faux-semblants et casseroles d'un monde véritablement à part...
Une brochette de vingt-six situations déclinées au gré de l'alphabet et qui gravitent toutes, de près ou de loin, autour de la planète « gastronomie » en frappant plus fort qu'avec le dos de la cuillère.
Une revue en règle de ces « gastrolâtres » : bourges, abrutis fêlés, chefs de cuisine, obscurs commis ou patrons de bistrots, homos ou hétéros, snobs, djeuns, vioques décatis, pères, mères célibataires ou filles indignes...
Tous enferrés dans leurs engouements les plus divers, piégés par l'exacerbation des sens, l'érotisme, mais aussi l'amertume des jours ordinaires, le grignotement insipide et insidieux du temps...
La palette complète des sauces de « la tambouille ordinaire ». Ces nouvelles sont animées par des acteurs toujours différents, en proie à des névroses, parfois frappadingues mais toujours fragiles... Ils croquent la vie, servent la soupe, se laissent porter par la routine, s'enthousiasment ou s'ennuient sans comprendre pourquoi...
En somme, un regard plein de gouaille sur les tribulations humaines au sein d'un microcosme trop souvent idéalisé.
Enquête sur les dangers du soja pour la santé et la planète
Par danieldorn | Le 20/08/2020 | Dans Santé
29 février 2020 / Julie Lotz
Entre les révélations des Monsanto Papers, les témoignages accablants d’éleveurs, et les résultats des analyses qui montrent la présence de résidus de glyphosate dans tous les laits commercialisés en France testés, Planète soja met le doigt sur un problème sanitaire à l’échelle mondiale.
Renforcement du FNE formation
Par danieldorn | Le 07/05/2020 | Dans Santé
Dans le cadre de la crise du Covid-19, le FNE-Formation est renforcé de manière temporaire afin de répondre aux besoins des entreprises en activité partielle par la prise en charge à 100 % des coûts pédagogiques.
Source FNE-Formation Par Valérie Delabarre - Le 06 mai 2020.
Pour faire face aux conséquences économiques de la crise sanitaire du Covid-19, le gouvernement mobilise les services déconcentrés de l’Etat pour encourager et accompagner la mise en place de projets de formation dans des volumes importants et des délais rapides. Dans cette perspective, le dispositif « FNE-Formation » est renforcé pour soutenir les démarches en faveur du développement des compétences, qui seront au cœur de la relance dans l’après crise.
Que faut-il changer dans vos locaux pour vous adapter à la situation ?
Par danieldorn | Le 07/05/2020 | Dans Hygiène
Faites vous aider pour réussir "l'après Covid"
- Accueil du personnel, des équipes
- Hygiène du personnel
- Réception des marchandises
- Stockages/déconditionnement
- Transformation/décontamination
- Stockage sur les lieux de services
- Production/service
- Accueil des clients (et flux)
- Offices, Bar, Réserves
- Service – restaurant et/ou VAE (Vente A Emporter), Room Service
- Plonge – vaisselle/matériel
- Sanitaires des clients
- Caisse/Paiement
- Séminaires/pauses/repas/équipements
- Gestion des déchets
- Et ...
Lecture pour tous ... Bien manger, ça s'apprend !
Par danieldorn | Le 12/06/2019 | Dans Santé
Bien manger, ça s'apprend !
Un titre, et tout est dit… ou presque.
Dans ce nouvel ouvrage sous forme de guide pédagogique, le médecin nutritionniste Jean-Michel Cohen adopte une approche très didactique pour poser les bases saines du "bien manger". Chacun a ses mauvaises habitudes alimentaires, ses croyances et ses a priori, mais l'embêtant est que nous transmettons aussi bien nos mauvaises pratiques que nos bonnes pratiques à nos enfants. Un livre très utile pour reprendre les bases et inculquer aux jeunes générations le goût du "bien manger", et du bien-être !
Allergènes
Par danieldorn | Le 12/06/2019 | Dans Santé
Allergies alimentaires : le rapport de l’Anses veut mieux informer pour mieux prévenir
Conseils aux professionnels 25 février 2019
L’Anses a émis une série de recommandations visant à assurer un meilleur suivi des allergies alimentaires, afin de mieux prévenir le risque de choc anaphylactique.
Mieux connaitre les allergies alimentaires en France
Dans son rapport "Allergies alimentaires" : état des lieux et propositions d'orientation, l’agence d’expertise de l’alimentation, de l’environnement et du travail, l’Anses, souligne que les données disponibles actuellement ne permettent pas de déterminer l’évolution de la prévalence des allergies alimentaires en France. Aujourd’hui, aucun dispositif n’existe en la matière.
Or depuis plusieurs années, on constate la transformation des habitudes alimentaires mais aussi l’apparition de nouveaux aliments sur le marché et de nouveaux procédés de transformation, autant de facteurs qui peuvent avoir un impact sur les allergies alimentaires.
Mieux identifier les allergènes émergents pour prévenir le risque d’anaphylaxies
Face à ce constat, l’Anses recommande aux pouvoirs publics d’améliorer les dispositifs de recueil de données relatives aux allergènes alimentaires, ainsi que l’évaluation de l’incidence ou de la prévalence des allergies, afin de mieux orienter les études et recherches sur les allergies alimentaires.
Si certains aliments sont connus pour être à l’origine d’allergies, tel que le gluten, l’arachide ou le lait de vache. L’Anses, dans ce nouveau rapport, s’inquiète de l’apparition de nouvelles allergies. Les signalements reçus par le Réseau d'Allergo Vigilance® (RAV) ont en effet permis d'identifier ces allergènes émergentscomme le sarrasin, le lait des petits ruminants (chèvre et brebis), le kiwi, le pignon de pin, l’α-galactose (présent dans la viande de mammifère), les pois, les lentilles.
Ces allergènes présentent un risque d'anaphylaxies (une des réactions allergiques le plus graves) parfois plus élevé que certains allergènes de mention obligatoire. De ce fait, l'agence recommande la mise à jour régulière de la liste des allergènes alimentaires, qui doivent être signalés afin de mieux prévenir le risque d'allergie grave.
Mieux informer les médecins et les consommateurs en cas d'allergies alimentaires pour un meilleur suivi
En l’absence de recommandations officielles relatives aux allergies alimentaires, l’Anses préconise la création d’un guide de bonnes pratiques, destiné aux médecins afin d’améliorer la prise en charge et le suivi des personnes allergiques, au-delà des centres spécialisés.
Il faut également rendre accessible aux consommateurs des informations sur les repas pris hors de chez eux (produits boutique, restauration,...). Des dispositions existent en Europe pour la restauration comme la réglementation INCO, il faut maintenant qu’elles soient réellement et uniformément mises en place.
Enfin, face au risque élevé des repas pris lors des déplacements à l’étranger, l’agence propose la rédaction d’un guide spécifique aux personnes allergiques souhaitant voyager à l’étranger ou à prendre l’avion, de façon à pouvoir informer et être informé en cas d’allergies alimentaires.
La France gastronome
Par danieldorn | Le 28/02/2019 | Dans A Lire
"Parbleu ! Il n’y a que les imbéciles qui ne soient pas gourmands.
On est gourmand comme on est artiste, comme on est instruit, comme on est poète.
Le goût c’est un organe délicat, perfectible et respectable comme l’oeil et l’oreille. Manquer de goût c’est être privé d’une faculté exquise, de la faculté de discerner la qualité des aliments, comme on peut être privé de celle de discerner les qualités d’un livre ou d’une œuvre d’art.
C’est être privé d’un sens essentiel, d’une partie de la supériorité humaine; c’est appartenir à une des innombrables classes d’infirmes, de disgraciés et de sots dont se compose notre race.
C’est avoir la bouche bête, en un mot, comme on a l’esprit bête". Extrait du Rosier de Madame Husson (1888), œuvre de Guy de Maupassantcitée par l’historien Antoine de Baecque dans son ouvrage La France Gastronome - Comment le restaurant est entré dans notre histoire, publié le 23 janvier dernier (éditions Payot).
Monsanto
Par danieldorn | Le 28/02/2019 | Dans A Lire
Monsanto : ce photographe est parti à la rencontre des victimes de la multinationale
Source L'ADN
Les femmes en cuisine célébrées dans « Cheffes »
Par danieldorn | Le 28/02/2019 | Dans A Lire
Source Magazine Le Chef 2019-02-21
Le 25 février sortira un ouvrage des plus inédits et novateurs, recensant les femmes chefs de France.
Les auteurs Vérane Frédiani (également réalisatrice et productrice de films) et Estérelle Payany (journaliste culinaire) sont parties à la découverte de ces femmes qui travaillent souvent dans l’ombre, afin de les mettre en lumière à travers ce « guide » intitulé « Cheffes – 500 femmes qui font la différence dans les cuisines de France ».
Sans distinction de cuisine, de terroir ou de parcours, le recensement a été effectué à partir d’un appel lancé sur les réseaux sociaux à travers 13 régions françaises, réunissant au final quelques 550 femmes chefs.
Le livre, dont la préface est signée Anne-Sophie Pic, propose également de découvrir 15 portraits de chefs dites « remarquables et exemplaires ».
Un véritable panorama de la scène gastronomique féminine française prochainement disponible aux Éditions Nouriturfu (20 euros).
Un lundi vert, sans viande ni poisson, pour ou contre ?
Par danieldorn | Le 07/01/2019 | Dans Santé
500 personnalités, artistes (Isabelle Adjani, Juliette Binoche...), scientifiques ou défenseurs de l'environnement (Yann Arthus-Bertrand...) dans une tribune du Monde ont signé un appel au lundi vert. Traduction : ne pas consommer de chair animale les lundis de 2019. Une campagne est lancée en ce sens.
CÉRÉALES ET LÉGUMINEUSES - 65 variétés, gestes et techniques, 110 recettes
Par danieldorn | Le 07/01/2019 | Dans Santé
Régis Marcon, Philippe Barret, Nathalie Nannini
PASSION GASTRONOMIQUE
Par danieldorn | Le 07/01/2019 | Dans Santé
DEVENIR UN GOURMET ECLAIRE ET MEME UN CUISINIER VIRTUOSE - BALLAND - PARU LE : 25/10/2018
Christine Van Ackere, Patrice Van Ackere
Préface de Bernard Pacaud, Chef trois étoiles de l’Ambroisie, Paris
ET MAINTENANT, ON MANGE QUOI ?
Par danieldorn | Le 07/01/2019 | Dans Santé
ET MAINTENANT, ON MANGE QUOI ?
Un ancien industriel de l'agroalimentaire vous aide à faire les bons choix
Christophe Brusset - Avec la collaboration de : Éric Maitrot
Trois ans après le succès de son best-seller, Vous êtes fous d’avaler ça !
Christophe Brusset poursuit son combat contre les dérives du food-business. Avec le même sens de l’humour et des anecdotes toujours aussi étonnantes, il dénonce la généralisation de la malbouffe industrielle ainsi que les…
Keyfood : la solution HACCP digitale
Par danieldorn | Le 27/10/2017 | Dans Hygiène
"KEYFOOD" LE LOGICIEL HACCP SIMPLE ET LUDIQUE
DBF QUALITE intervient dans le domaine de l’hygiène et la sécurité alimentaire depuis 12 ans dans le secteur de l’agroalimentaire, la restauration, les métiers de bouche, la GMS, IAA…
Cette expérience a permis de développer une solution complète très intuitive et ludique pour nos clients à la recherche d’une solution logiciel HACCP afin de mieux gérer les procédures de surveillance et tenir à jour leur Plan de Maitrise Sanitaire (PMS)
http://www.dbf-hygiene.fr/logiciel-haccp-pms-keyfood
Nous proposons plusieurs solutions d’équipement matériel (tablette, Smartphone, panel PC…)
Nos formules location ou achat intègrent les applications suivantes :
• Gestion des procédures de surveillance HACCP
• Gestion d’un registre de traçabilité…scannez vos étiquettes !
• Agenda des tâches journalières avec alertes et rappels
• Planning de nettoyage et désinfection
• Base de données PMS réglementaire accessible et disponible en cas de contrôle DDPP
• Outil de contrôle auditeur paramétrable avec votre grille de contrôle interne
• Gestion des DLC
• Imprimante d’étiquette de traçabilité interne
• Réception et lecture de vos rapports d’analyses
• un accès à notre application Web (Smartphone, PC)
• « Tableau de bord multi-sites » qui permet le pilotage des différents sites sur le suivi des procédures
À la Une : Contre le glyphosate, cet agriculteur prouve que les alternatives aux pesticides existent....
Par danieldorn | Le 27/10/2017 | Dans Restauration
AGRICULTURE BIO : FÉLIX NOBLIA SE PASSE DE GLYPHOSATE ET GAGNE MIEUX SA VIE
Par Raphaëlle Dormieu - 25 octobre 2017
D'un côté, il y a les agriculteurs conventionnels qui trouvent un intérêt aux pesticides. De l'autre, il y a ceux qui montrent comment s'en passer.
Le glyphosate est au cœur des débats d’actualité. Alors que les États européens sont sur le point de voter pour un éventuel renouvellement de la licence d’utilisation de l’herbicide, des agriculteurs veulent nous prouver qu’il est possible de bien gagner sa vie tout en respectant la nature.
Les États membres de l’Union Européenne sont en train de voter sur la question de la ré autorisation de l’utilisation du glyphosate, que la France aimerait limiter à trois ans. L’herbicide le plus utilisé au monde est pourtant on ne peut plus controversé. Et pour cause : les conséquences néfastes sur l’environnement et sur notre santé sont aujourd’hui indiscutables. En 2015, le Centre international de recherche sur le cancer, rattaché à l’Organisation Mondiale de la Santé, classait le glyphosate dans la catégorie «cancérogène probable» pour l’homme.
Alors que le glyphosate a déjà été interdit à Malte, au Sri Lanka, au Nicaragua, au Salvador, au Costa Rica, en Californie, etc., en cours d’interdiction en Inde et en Argentine… certains agriculteurs français font de la résistance et prouvent, par là même, qu’une autre agriculture est possible. C’est le cas de Félix Noblia, au micro de BFM TV , sur son exploitation, les produits chimiques sont bannis. Il explique :
« Au lieu d’utiliser des produits pesticides sur une terre nue, on fait pousser des plantes qui vont protéger le sol et qui vont empêcher les mauvaises herbes de pousser. »
Depuis ce changement vers une agriculture bio, les rendements de Félix Noblia augmentent chaque année, tout comme ses revenus : il est passé de 100 à 200 euros de marge nette par hectare avec les pesticides, à près de 1 500 euros pour la même surface cultivée.
Sortir du glyphosate est donc encore possible.
Espérons que les États membres prennent la plus sage des décisions, pour le bien de la planète.
Pour une alimentation durable : développons une agriculture durable et solidaire.
Alors que le monde agricole était à l’honneur la semaine dernière à l’occasion du Salon de l’agriculture, nous devons nous rappeler que l’agriculture est au cœur des enjeux de développement durable : disparition des savoir-faire locaux, des emplois, dégradation de notre santé et de notre environnement. La crise est profonde et le désespoir palpable.